_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ Je trouve cela très important
... que les personnes sous dépendance
(alcool, pilules, drogues ou autre)
ou unmentalsouffrir de maladie
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ s'en occupercomprendre et
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ soigneusement.
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905 Tout est causal.
La partie de nous qui est veut anesthésier
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ a souvent enduré de mauvaises choses et
doit endurer et essaie toujours
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905 -5cde-3194-bb3b-136bad5cf58d_ nothingplus à endurer
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ parce qu'il est toujours blessé
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905 -5cde-3194-bb3b-136bad5cf58d_ et la douleura.
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905 -5cde-3194-bb3b-136bad5cf58d_ Et exactement cette partie
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ a besoin de toute notre attention
_cc781905-5cde-3194 -bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905 -5cde-3194-bb3b-136bad5cf58d_ _cc781905-5cde-3194- bb3b-136bad5cf58d_ und Liebe.
Après tout, il est plus facile de s'occuper de quelque chose que l'on se laisse approcher pour le regarder de manière holistique que de le repousser et de le nourrir de morceaux d'un long bâton, car il vient en quelque sorte du sous-sol - où si possible personne ne peut voir - cris.
Peut-être qu'il veut juste demander : « Pourquoi me repousses-tu, je sais que je ne suis pas beau, sale et brisé. Nous avons heurté le sol tant de fois. main qui te tient et toi, j'étais. Pourquoi ne veux-tu pas de moi, pourquoi ne m'aides-tu pas -je suis ta douleur".
Alors pourquoi? Pourquoi est-ce que j'essaie de le repousser et de le cacher ? Quiconque pense que le syndrome alcoolo-drogue est une condition comprise et reconnue soit habite en France soit pense par lui-même (parce qu'il a compris et reconnu). Et c'est une bonne chose, commencez toujours par vous-même. Sinon, mes expériences en matière de compréhension sont malheureusement assez affligeantes. Si vous avez de la chance, vous avez une famille humaine aimante ou de bons amis.
Malheureusement, ni la société "développée" ni un système de santé coûteux ne peuvent aider à lutter contre les maladies mentales et les dépendances. Dans ma compréhension, la société manque littéralement de "haut développement" et chère ou non, la santé ne peut être ni achetée ni vendue... La maladie, en revanche, le peut. Parce qu'exactement 2 types de patients font qu'une industrie pharmaceutique très rémunératrice et le système de santé lucratif devient superflu - sain et mort ! Et j'entends par là la proportionnalité. Tout le monde mérite un salaire pour son travail. Cependant, je sais comment certains représentants du système de récupération viventpeut et combien de ceux à guérir sont vivantsdevoir.
Je me demande parfois quoi faire de tous les milliards dépensés chaque année pour l'alcoolisme et la toxicomanie, l'arrêt et le traitement des méfaits à long terme liés à la toxicomanie. Et pourtant, ce n'est qu'un morceau sur un bâton pour nourrir ceux qui souffrent. Souffrant parce qu'ils sont incapables d'éteindre leur sensibilité naturelle et de supprimer leur douleur comme les autres. Ils brisent la société "plus haut, plus loin, plus vite - maintenant, immédiatement, sur place, tout de suite". Le fait est que la personne qui ne peut pas ou n'arrive plus à courir - pour quelque raison que ce soit - descend au sous-sol. Parce que dans le "Maintenant, immédiatement, sur place, système égal" il n'y a pas de temps pour la guérison.
Selon ma compréhension et mon expérience, une guérison holistique et durable est possible si - dans un sens métaphorique - je laisse m'aider à donner moi-même un nom à la maladie. Je suis la guérison moi-même - dans la forme pure de mon être - mon âme. Cela nécessite généralement un examen approfondi de soi.Surimposé par les expériences, les manipulations et les murs d'ego, il est désormais incontournable d'enlever couche d'oignon par couche d'oignon et cela prend du temps, du courage et de la bravoure et c'est épuisant, douloureux et frustrant. Cela en vaut toujours la peine, car derrière tout cela, nous sommes en bonne santé et pouvons maîtriser et profiter de la vie.
En tant que personne qui a fait un voyage très perspicace à travers les institutions psychiatriques de ce pays, pour ceux qui ne veulent pas parler ou ne peuvent plus parler parce qu'ils n'ont pas survécu, je dis que le la maladie de l'individu, souvent paradoxalement, ne l'accompagne pas à la clinique et ne réapparaît qu'à sa sortie de la clinique.
Curieusement, je n'ai jamais abouti à un projet thérapeutique. J'ai reçu et reçu une thérapie, j'ai été gardé, protégé de moi-même, traité avec des médicaments, soigné et soigné par un médecin. Ma condition était misérable et est devenue de plus en plus misérable. Cependant, rien ne me désespérait et ne me faisait autant peur que les points d'interrogation au-dessus des têtes et l'impuissance aux yeux des médecins, des thérapeutes et de tous les autres qui voulaient et/ou devaient aider pour des raisons professionnelles. Et rien ne m'a rendu si triste que de vivre et de devoir regarder le manque de respect, l'irresponsabilité et l'arrogance avec lesquels les personnes qui ont besoin d'aide sont traitées. J'entends les médecins me crier dessus : "Pourquoi personne ne peut-il m'aider ? Où est le remède ?". Je suis sûr que certains d'entre vous, et beaucoup d'infirmières en particulier, auraient aimé m'aider, et vous l'êtes en effet, avec votre gentillesse, votre humour et votre réconfort. Et je suis de tout cœur pour çaCoeurs reconnaissant!
Mais en fin de compte, mon travail consiste à trouver la guérison, à récupérer et à guérir. Dans le chamanisme, cela s'appelle la purification. Je l'appelle : La maladie de guérison...
Au final il ne restait plus rien, l'appartement, les affaires, mes animaux préférés, mes amis... tout est parti ! Juste moi, un sac avec quelques affaires et des livres, dans une zone déserte juste à l'extérieur de mon Hambourg bien-aimé. Oh oui, et cette voix qui parlait si doucement, doucement et patiemment, "Tu peux le faire, tu as toujours su le faire. Écoute, enfin écoute encore et regarde. Tout est là". Et je me souviens que c'était la même belle voix qui disait très doucement quand je devais dormir dans la rue, "Wake up Maren, il est temps". Je ne l'ai pas vraiment compris ce soir-là - à cause des circonstances...
Mais ensuite j'ai compris et je me suis réveillé.
